UNE PETITE HISTOIRE.......

Chers et tendres amis,

Commme j'ai déja succombé à toutes les tentations possibles et imaginables pour m'éloigner de la finition de mon mémoire, comme je me refuse à admettre que ce n'est pas le moment de porter mon attention sur autre chose, je viens à vous en ces pages pour vous faire part d'une idée que je trouve somme toute assez interessante merci.
Pourquoi ce forum ne deviendrait il pas un éspace créatif? me suis je dit.
Pourquoi ne pas unir nos ésprits et nos ames vers la création commune de ce qui deviendra, n'en doutons pas, un petit chef d'oeuvre de la littérature? Laissons nous aller à imaginer un réçit créer par les theupus, une histoire rédigée à 4, 6, 8, 12, voir meme 16 mains......

Si le coeur vous dit de me suivre, le concept est trés simple : J'écrirai ici meme ce soir la premiere partie de l'histoire que je tacherai de terminer en un point crucial, puis, j'appellerai un autre theupus qui aura alors pour tache de continuer le réçit et ainsi de suite jusqu'à ce que le theupus appellé n'est plus d'idée ou refuse d'entrer dans la danse.
Nous pourrions faire durer le plaisir pendant des mois. ...

Quelques recommandations cependant. Il serait indélicat de commenter ironiquement la partie des autres et, peut etre pourrions nous éviter de poster autre chose que ce qui se rapporte à l'histoire de maniere à ce que celui qui relise tout depuis le début est l'impression de parcourir un véritable petit livre. Evitons également d'appeller deux fois de suite le meme theupus pour que chacun participe de la meme maniere.

Bien entendu, lorsque nous serons appeller, rien ne nous oblige à écrire notre partie à la minute. Il nous faut prendre notre temps pour savoir quoi raconter ( en plus, cela donnera une petite touche de suspens pas désagréable) mais j'èspere cependant que cette idée vous séduira et que tout le monde voudra bien entrer dans la danse.

Voila mes chers et tendres amis, maintenant il faut que je me prennes pour un crayon et que je me taille. Mais je vous dis à ce soir pour le début de l'histoire et le premier theupu appellé.....

C'est une très bonne idée Marco! Cela fera travailler notre imagination et peut être réveler en nous des dons d' écrivain...

Ce soir là, Boris Igor-Thomas Edmondantesque se rendait à une soirée organisée par des amis. Par des tortionnaires aurait été plus juste tant il était vrai que le jeune lycéen n'avait de cesse d'etre le souffre douleur de ses camarades. Pour un oui à la Constitution européenne ou pour un non au départ à la retraite de Zidane, tous cette fringuante jeunesse rendait véridique le célèbre adage du petit père Rimbaud, "on est pas sérieux quand on a dix sept ans", en lui crachant au visage, en lui enfonçant la tete dans la boue les jours de pluie et en lui pillant la totalité de son plateau à la cantine. Certes tout cela réstait bon enfant et était le plus souvent accompagné de rires dont la sincérité n'aurait pu etre mise en doute, certes il se savait résponssable de leurs comportement de par ce nom ridicule dont il était affublé, mais enfin, tout de meme, il ne pouvait s'empécher de penser qu'à son age, sauter quotidienement le repas de midi, allait avoir des répercussions désastreuses sur sa croissance.
Heureusement, Dieu dans son infinie miséricorde et, avec le tact et la gentillesse qui l'ont rendu célèbre jusque dans les plus hautes sphères de l'équipe de France qui le loue encore pour la soirée du neuf juillet 2006, avait doté Boris Igor-Thomas Edmondantesque de défenses contre la méchanceté de ses congéneres. Ainsi, il ne sentait pas les crachats de ses camarades ayant le visage dévoré par une telle couche de boutons que la bave des crapeaux n'atteignait pas la blanche colombe. De meme, ses parents exerçant le noble métier de croque mort, il avait pris l'habitude d'avaler chaque matin une pleine bouteille de formol afin d'anéstésier sa bouche et ainsi ne pas etre incomodé par le gout de la boue.
Il aurait donc pu etre heureux si il n'y avait eu les humiliations verbales. En effet, prennant ces initiales comme une mauvaise plaisanterie, tout le lycée avait coutume de l'appeller LA BITE. D'un couloire à une salle de permannence, du réfectoire à la classe d'anglais, LA BITE était sur toutes les lèvres lorsqu'il approchait. En ces temps incertains que représente l'adolescence ou le corp change alors meme que l' ésprit demeure enfantin, ou apparraissent poils, seins et hanches, qui y a t il de pire pour celui qui n'accepte pas cette nouvelle sexualité que de se voir privé de son identité au profit du symbole phalique le plus évident de cette meme sexualité? En son fort intérieur, LA BITE, pardon, Boris Igor-Thomas Edmondantesque pensait qu'il s'agissait là de la plus ignoble des tortures. Mais cela n'arretait en aucune façon les autres et les choses ne faisaient que déraper un peu plus chaque jour pour finir par sortir complétement de la route comme aurait dit le célèbre coureur automobile Senna.
A l'instar du regretté Adolf Eichmann vis à vis du Mossad, LA BITE avait pris comme farouche résolution de se faire discret par raport à ses camarades. Mais, tout comme ce haut et digne fonctionnaire allemand, il fut bientot ratrapé par son passé. Au moment ou débute notre histoire, il n'était pas rare de voir Benjamin, le plus beau garçons du lycée, apostropher LA BITE en ces termes: "Hey connard, ça me démange, tu ne veux pas m'aider?" Dans le soucis de rendre service, notre héro s'employait alors à essayer de soulager celui qui, la veille encore, lui enfonçait bien profond la tete dans une crotte de chien tout en dégustant le dessert qu'il venait juste de lui voler. Et le benjamin de s'adresser alors bien haut et clair à la foule : " Hey les gars, y a LA BITE qui me gratte!"

Ainsi s'écoula la vie de martyre du jeune garçons avec les hauts des autres et les bas qui lui furent prèsque exclusivement réservés. Jusqu'à ce fameux soir ou débute notre histoire. Il avait été invité par Magalie, son ex petite amie à une soirée ou se rendrait probablement tout ce que le lycée comptait d'èléves populaires. C'était l'occasion qu'il avait cherché toute sa vie. Enfin, il leur prouverait qu'il pouvait etre aussi drole, cool et branché qu'eux meme croyait l'etre. Enfin, il prendrait sa revanche en prouvant que lui aussi était quelqu'un.
Lorsqu'il arriva, la soirée battait son plein. Il n'eut meme pas un regard pour Magalie, femme, dont l'aigreur constante, le regard froid et les cuisses à jamais serrées l'une contre l'autre pour empécher la vie d'y entrer, l'avait toujours reboutté, pour concentrer toute son atention sur Benjamin qui, toujours aussi beau, tronait devant le bar. Ce dernier lui rendit son regard. C'était le moment. Il allait prouver à ce rustre de quel bois il se chauffait. Il poussa un grand soupir viril pour se donner du courage. Puis, Boris Igor-Thomas Edmondantesque s'enfuit aussi vite qu'il le pu en direction des toillettes.
Dans son refuge, il s'assit et se roula doucement en boule tel un petit animal triste attendant la mort qui se refuse à venir le délivrer de ses souffrances. La mort ne vint pas, mais la musique le fit. Des toillettes lui parvint la plus douce mélodie qui lui est été donné d'entendre. Ouvrant le couvercle, il ne remarqua tout d'abord rien d'anormal avant de s'apercevoir qu'il flottait dans l'air comme une odeur délicieuse de pot au feu. " Magalie a encore changé de parfum" se dit il. Mais ce n'était pas cela. De ce lieu se dégageait une telle harmonie qu'il sentait bien qu'il ne résisterait pas longtemps à son appel. Car c'était bien un appel. Ce trou, d'un si grossier usage habituelement, lui semblait maintenant etre un passage vers un autres monde. Un éclaire blanc remplit silencieusement les cabinets de Magalie. Et, sans aucune crainte aucune, LA BITE pénétra dans l'orifice et disparue de l'autre coté.

Il se réveilla dans une magnifique prairie ensoleillée. Il se leva lentement et regarda autour de lui. Tout était calme. La beauté naturelles des choses les plus communes comme ces oiseaux dans les branches cotoyait les plus extravagants délires. Sur sa gauche, un dragon aux couleurs du PSG s'envola énergiquement. Il aperçu, accroché à un peuplier, LE CRI, le magnifique tableau volé d'Edward Munch dont la finesse du trait, la pertinence pour tout ce qui touche aux tourments de l'ame humaine et le déséspoir inssenssé qu'elle procure à quiconque la comptemple, amennent à penser que ce n'est pas de la merde.
Et soudain une voix. Il la connaissait. Elle était chaude et donnait faim comme une publicité pour les réstaurants Flunch. Il se retourna doucement en murmurant :
" Aimé Jacquet?"
C'était bien lui. Il avançait dans sa direction un grand sourire aux lèvres :
" Oui, c'est bien moi. Ne parle pas, ne pose aucune quéstion. Le temps presse. Tu es ici car tu as une mission à remplir. Une mission que tu es seul capable de mener à bien. Saches tout d'abord que ton monde n'est pas le seul qui existe. Il y a son double ou tu te trouves actuelement. C'est le monde des reves. Ici ce matérialisent les reves les plus secrets de tous les individus de ton monde. Ici, le PSG est un dragon auquel aucune équipe ne résiste, Jospin a passé le premier tour en 2002 et Michel Sardou est un chanteur de talent..... Je sais, tout cela est trés effrayant, mais il faut que tu comprennes que ces deux mondes ont besoin l'un de l'autre, qu'il s'équilibrent entre eux. Or, une catastrophe est sur le point de se produire. L'un des notres veut détruire ton monde pour que seul celui des rèves demeure. Tu es le seul etre à ne pas avoir de double ici. Toi seul peut le pourchasser et mettre fin à ses sinistres projets. Mais pour cela, il faut que tu te muscles LA BITE... Heu... Pardon je veux dire ton jeu, il faut que tu muscles ton jeu..."
Timidement, Boris Igor-Thomas Edmondantesque répondit :
" Merci pour tout ces rensseignements et pour la victoire de 1998, mais pourquoi suis je le seul à ne pas avoir de double ici?"
Un sourire triste apparu sur le visage du magicien :
" Car tu as une éxistence si misérable que tu n'as meme plus assez de soleil dans le coeur pour réver ta vie..."
Puis il disparu non sans avoir tout d'abord remis une lettre révélant l'identité de celui qu'il lui faudrait affronter ainsi qu'un plan pour parvenir jusqu'à lui.
Le jeune homme resta seul, pleurant silencieusement telle une petite maison innondée dans la prairie.






Et j'appelle Touffik

Edité par Romain : oui, j'ai changé le nom car je n'ai pas du tout le temps de faire ça en ce moment. Merci de votre compréhension

Essuyant ses dernières larmes, Boris Igor-Thomas Edmondantesque senti une force voulant le ramener au monde réel. Il resista de toute son energie pour rester dans ce monde merveilleux, où tout était possible. Mais rien ne servait de lutter. Quelqu'un avait tiré la chasse d'eau de ces toilettes décidémment magiques...Sans avoir eu le temps de dire ouf, il se trouva teleporter dans cette pièce.

Il tremblait encore de cette première expérience Spokienne. Mais il tremblait aussi de peur, de cette mission cruciale pour sauver le sort de l'humanité. "Pourquoi moi?" se dit-il, "je n'ai pas assez de problèmes comme ça?".
Il décida de se calmer et de reprendre ses idées. Il prit le temps de reflechir, de se souffler. Mais la musique à plein pot, l'odeur de la cigarette, le bruit des verres de bières qui s'entrechoquent, les ricanements stupides des invitésl'empêcha de se concentrer. Il fallait qu'il parte.

Enlevant les bouts de PQ collés dans ses cheveux, il ouvrit nerveusement la porte des toilettes et se dirigeant vers la sortie, il essaya de se frayer un chemin à travers tous ces gens leur donnant même des coups d'épaules s'excusant timidement au passage. C'est la qu'il tomba sur miss jambes serré, son ex Magalie. Leur conversation tourna vite au vinaigre:
-Mag: "qu'est ce que tu fais, tu t'en va déjà?".
-Bite: "euh oui, j'ai un truc à faire"
-Mag: "j'en était sure, ça fait perpet' kon avait pas passer de soirée ensemble et toi, tu fuis, t'es nul!"
-Bite: "euh désolé, ça aurait était cool de rester plus longtemps, mais je dois y aller. J'me sens pas très bien avec tout ce monde. Jvé prendre l'air et me reposer chez moi. Tu m'en veux pas j'esp..."
-Mag: "... c'est ça ouiais c'est toujours pareil avec les mecs et en particularité avec toi. Allez rentre chez ta mamounette d'amour et embrassse la bien de ma part,...minable, couille molle..."

Tout autour d'eux, un silence c'était fait. Le temps semblait figé tout à coup. Mais quelques instants plus tards, tout le monde éclata de rire, montrant du doigt Boris Igor-Thomas Edmondantesque en criant en coeur: "la Bite aux couilles molles". S'en était trop, il s'enfuya tel une anguille, se mit à courir le plus vite possible en pleurant toutes les larmes de son corps. "Cette soirée devait être le redressement de "la Bite"" se dit-il, mais encore un fois il fut vicitme des moqueries.

Montant quatre à quatre les marches de sa maison, il se cloisonna dans sa chambre. Elle sentait le formol et était comme aseptisée. Elle était vide, rangée avec soins. On y sentait tout le poids de la solitude. Ignorant ce détail, Boris Igor-Thomas Edmondantesque s'assit sur son lit en forme de cerceuil. Avec angoisse il sortit l'enveloppe de sa poche et lentement la décacheta...
Elle comportait deux lettres. Il prit la première. Posa son regard dessus. Il lu à voix haute. Voici ce que ça donna:
"très souvent, au court de notre existance, nous voyons nos rêves déçus et nos désirs frustrés, mais il faut continuer à rever, sinon notre âme meurt".
Boris Igor-Thomas Edmondantesque n'y comprit rien. Il sortit donc l'autre feuille. Avec effroi et stupeur il lu le nom de l'ennemi de son monde et le plan qui pourra l'amener à lui...


J'appel Sandya !!!

Une question lui vint à l'esprit, une question somme toute naturelle à toute personne se retrouvant dans sa situation et devant mettre un terme à la vie de cette fameuse personne. Pourquoi? pourquoi cette personne? Pourquoi cette mission pour cet être si frêle, BITE?
Que faire? De toute façon la question de savoir à qui il pouvait en parler ne se posait pas dans la mesure où la BITE n'avait pas d'amis. Même à Magali, il ne dirait rien. Elle ne comprendrait pas et le prendrait encore pour un azimuté.
BITE réfléchit longuement à cette aventure; pendant des jours BITE ne se reposa pas et ne connut que des nuits agitées. Difficile d'être BITE.
Ces longs moments de solitude lui permirent de faire le point sur sa vie, ce qui ne s'avéra pas brillant; les souvenirs se résumaient en des humiliations, injures, mauvais traitements....Peut être que cette mission lui permettrait d'échapper à cela et à ce monde qui lui était si cruel. Quand on y pense des personnes moins BITE que lui même n'ont jamais pû se sortir de cete vie. Il aurait pu, en effet, devenir délinquant, psycho logiquement très atteint, et même devenir membre du FN, la peur et la frustration font faire des choses horribles.
Mais BITE a toujours su bien réagir, enfin pour l'instant.
Mais peut être que la vie a-t-elle voulu lui faire le seul cadeau possible, devenir un héro, garder l'équilibre, fuir le déséquilibre et le basculement dans un monde unique, celui des rêves.
Il se dit alors, au bout de tous ces jours de tension, qu'il effectuerait cette mission et qu'il LE tuerai.
Cette instrospection de la BITE permis sa réaction et son ascension vers un monde meilleur....


j'appelle Awalpe.

A mesure que les jours passaient, La Bite devenait de plus en plus nerveux arrachant les branches qui avaient le malheur de se trouver sur son passage. En effet, depuis toutes ces années La Bite avait accumulé une profonde rancoeur contre celles-ci qui servaient à ses camarades de classe à lui enfoncer dans le zlip. Mais avant de s’acharner sur une énième branche, La Bite se posa la terrible question qui dérange plus d’un homme sur cette terre : « Pourquoi le caca, qu’on le fasse trois fois par jour ou la porte ouverte, renvoie à un gestuelle problématique, à un univers sonore et olfactif dérangeant, propre à briser le charme du plus doux et rose des matins ? » Cette interrogation le dérangea quelques secondes puis il s’attaqua à la dernière branche de son jardin. Il prit un malin plaisir à enlever chaque feuille une par une. On pouvait lire sur son visage le sadisme que l’on trouvait généralement sur le visage des ses agresseurs et plus particulièrement sur celui de Benjamin. Le plus étonnant dans cette scène terriblement pathétique, c’est que La Bite se mit à chanter : « j’ai attrapé un coup d’amour, un coup de soleil, un coup d’je t’aime… », lui qui habituellement aimait gueler avec l’accent Franc-comtois et de manière désinvolte: « L’amour c’est l’infini à la portée des caniches. » Ce terrible revirement s’explique par le fait qu’il ait voulu faire croire pendant tant d’années, à l’instar d’un Laurent Fabius qui a fait croire qu’il était de gauche, que l’amour ne l’intéressait pas. Or, depuis l’autre soir la petite Magalie (à prononcer de la même façon que Nikos Aliagas lorsqu’il annonça la victoire de la grosse dans la Star Ac 5) n’a de cesse d’occuper une partie de ses pensées. Seulement une partie. En effet, il ne pouvait pas faire complètement abstraction de la terrible mission qui lui était confiée. La Bite ne comprenait toujours pas pourquoi dans la fameuse lettre que lui avait remis Aimé Jacquet, il lui était demandé d’éliminer la célèbre blondasse du paysage audiovisuel français : Steevy. Pourquoi cet homme si respectable et si brillant ? Qu’a-t-il fait pour que La Bite doive le tuer? ...


J'appelle Bouchon

POur répondre à cette quetsion qui lui trottait dans la tête depuis plusieurs jours et qui avait remplacé non pas sans regret le refrain que LA BITE se répétait pour sortir de ses idées noires :

"Je veux que tout le monde bouge fesses, que les femmes oubient leur complexes, Façon sexeeee ... oh yeah !!!",

Boris Igor-Thomas Edmondantesque arriva à la conclusion qu'il ne pourrait jamais y répondre dans le monde de la réalité...

Cette conclusion fut tirée de sa conversation avec la famille de Jésus alors formée par le Christ en personne, Marie Madeleine et Jésus Junior, venue tout droit du monde des rêves (car nous savons bien comment a fini Jésus : accricher à une croix, se faisant lécher le spieds par des miliers de pécheresses venant prier pour le pardon de leur adultère).
Jésus sentant bien que Boris ne pourrait jamais organiser de soirée disco et serait toujours rejeté par MIss Camping, condition siné qua non pour trouver les indices à la bonne résolution de sa mission, décida de venir en aide à celui que le monde entier appele LA BITE (même ses parents, qui ne peuvent s'empêcher de se comporter comme leurs voisins, les parents du beau Benjamin, pour être intégrer à la société bourgeoise du quartier, se sont mis à nommer leur fils dans ces termes). et oui, car entre martyre, on doit se serrer la Bite, euh non les coudes pardon .... !!!

Jésus vint donc à LA BITE, accompagnée de sa pute et de sont batard et s'adressa à lui en ses termes :


J'appelle Benoit

Je crois que Benoit n'est plus de ce monde...
Si nous voulons connaitre la suite et fin de cette histoire, je propose d'appeler quelqu'un d'autre. Qui se dévoue ?!